Du ben bon contenu, des ben bons résultats.

Les consommateurs d’épicerie visitent en moyenne cinq bannières par année. Leur décision d’achat se fait en fonction des promotions, perceptions et arrivages produits. Pour attirer les consommateurs, les bannières doivent continuellement être « top of mind ». La publicité traditionnelle est nécessaire à Maxi pour rejoindre la masse. Par contre, les moins de 34 ans délaissent le câble et quittent Facebook. Ceux qui y restent sont plus difficiles à rejoindre comme la portée organique chute et les publications des marques sont noyées dans une mer de contenu. Sachant que 71 % des consommateurs disent que leurs préférences d’achat sont influencées par ce qu’ils voient sur les médias sociaux, le contenu de Maxi était condamné à surperformer si la marque était pour atteindre ses objectifs. Plus une publication recueille d’engagement, plus elle est favorisée par l’algorithme. L’agence a également remarqué que, depuis le début de la pandémie, le comportement sur les médias sociaux n’était plus à la conversation, mais bien à la réaction. Maxi a été installée sur TikTok de façon percutante afin de devenir la marque préférée des jeunes Québécois sur cette plateforme. Les comportements typiques d’épicerie ont été mis en scène (ex. : se sentir imposteur lorsqu’on utilise la caisse rapide avec 1-2 articles de trop). Une esthétique moyenne, sans visuel par moment, a été privilégiée avec littéralement des centaines d’émojis à l’occasion. La stratégie a permis à Maxi d’être dans le top 3 des marques québécoises sur TikTok après seulement 6 mois.