Bon à ce point-là

Même si le porc du Québec a tout pour lui, il ne jouit pas de la popularité qu’il mérite auprès des consommateurs québécois. Le confinement de 2020 a poussé les Québécois à cuisiner plus que jamais. L’objectif d’affaires était de stimuler les ventes de porc frais en les augmentant de 10 % pour la période de campagne, tout en renouvelant l’intérêt des consommateurs. La recette mythique est devenue un prétexte pour initier une quête épique qui allait engager la cible. Encapsulée par la signature « Bon à ce point-là », la stratégie s’articulait principalement autour d’un goût distinctif, d’une coupe surprenante et d’une quête engageante. « Bon à ce point-là » a d’abord été installé en télé et vidéo en ligne par une approche multiexécution de trois messages en séquence. La quête s’est rapidement transposée dans une multitude de canaux, allant des sites de recettes aux plateformes sociales. Pour mousser le momentum de la recherche en ligne, la marque a même caché la recette sur le site du client. Quand on la cherchait, une page d’erreur 404 invitait les usagers à s’inscrire à une infolettre spéciale qui allait leur révéler la recette en primeur. La campagne a contribué à la santé de la marque de façon considérable, l’attribution à l’annonceur grimpant de 79 %. Les ventes de longes de porc ont aussi augmenté de 18,7 % dans 300 magasins IGA au Québec.